31/10/2006
Rosemary's baby (roman Polanski 1968)
|
02:17 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)
29/10/2006
Mellon collie and the infinite sadness :The Smashing Pumpkins (1995)
La pub disait: il est double; il est monumental.
Les années ont passé et le groupe a implosé, indiscutablement Mellon Collie And The Infinite Sadness est leur album pivot; la synthèse de tout ce dont Billy Corgan et son groupe étaient capables.
Il y a tout ce qu'il faut dans ce double album pour en faire un disque essentiel: des singles fulgurants bien épaulés par des videos - clips soignés et archidiffusés (merci MTV), "Bullet With Butterfly Wings", "Tonight Tonight, "1979", "Thirty-Three", des balades somptueuses ("Stumbleine", "By Starlight", "Lily", "Farewell & Goodnight", "To Forgive"), des titres plus expérimentaux et quelques rares titres dispensables ("X.Y.U.", "Jellybelly").
Deux CD de 14 morceaux chacun, on imagine quel album simple Mellon Collie aurait pu être avec une selection de titres un poil plus rigoureuse.
Ne soyons pas difficile: ce double album s'impose comme un poids lourd dans l'histoire de la musique de ces dix dernières années.
Quant à Billy Corgan, je reste persuadé qu'il avait conscience, à la sortie de ce disque, que les Smashing Pumpkins avaient atteint leur sommet artistique; les productions suivantes n'auront pas le même accueil que cet album majeur et il mettra fin a l'aventure Pumpkins quelques années plus tard
The Smashing pumpkins - 'by starlight'
23:25 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
27/10/2006
Clap yours hands say yeah (Clap yours hands say yeah 2005)
Clap your hands say yeah- the skin of my yellow country teeth
Je m'etais promis , je m' etais juré de ne plus m'emballer sur le simple phénomène hype d'un nouveau groupe rock annoncé un peu partout comme révolutionaire ou symbole du renouveau d'un genre musical souvent défini (a tort) comme moribond . C'est peu dire la suspicion et la méfiance que je me suis donc imposé pour partir a la découverte du premier album des new yorkais de Clap your hands say yeah Alors qu'est ce qui se cache derrière ce nom un brin racoleur dont on ne saurait dire s'il est genial ou ridicule et surtout derrière l'hideuse pochette couleur ocre? Quel est le constat ? En toute objectivité je suis forçé de constater que j'avais tort d'être méfiant car cet album est bon , il est même très bon ,s'appuyant sur des références évidentes (Talkings heads ) Clap your hands say yeah! livre un disque plein de tonus et d'énergie dont la fraîcheur et le dynamisme nous rappelle le premier Strokes is this it. Après une intro plutôt curieuse dans laquelle le groupe s'annonce lui même dans une ambiance très rock'n roll circus les titres s'enchainent sans laisser le temps a l'auditeur de souffler les meilleurs sont sans aucun doute les titres 5 Details of the War" et 6 "The Skin of My Yellow Country Teeth' avec guitares tourbillonnantes et harmonica furieux .Impossible vraiment de ne pas taper du pied a l'écoute de cet album déchaîné et même si un titre fait irrémédiablement penser a une célèbre chanson des Who les jeunes musiciens de ce nouveau groupe qui a d'abord conquis le monde du rock via le net (a l'image des Artic monkeys ou de Sufjan Stevens) et fait souffler depuis le pavé new -yorkais un vent nouveau sur le monde du rock remplissent leur mission première a savoir celle de proposer un bon disque de rock rythmé et dansant Une chose est sûre avec l'explosion de Clap your hands say yeah!il faut compter désormais a temps plein avec Internet et le monde des blogueurs pour se faire connaître et ce groupe n'est qu'un exemple de plus parmi les nombreux artistes qui ont d'abord su , relayé par le net , se tailler une réputation flatteuse , a nous de trier et de verifier avec le recul nécessaire car tout n'est pas forcement de qualité dans les découvertes pré-albums d'Internet . Ici dans le cas du groupe emmené tambour battant par Alec Ounsworth on ne pose pas longtemps la question puisqu'au bout de quelques titres on est totalement conquis . Clap your hands say yeah ! a par ailleurs reçu le prix Rolling Stones 2005 en qualité de' Hot new band ' |
17:29 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
26/10/2006
Violator (Depeche mode -1990)
|
03:34 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
17/10/2006
Classement des plus grands albums british de tout les temps
|
|
01:54 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
16/10/2006
Le Cercle 2 (hidéo Nakata 2005)
Même en cherchant bien il n'y a rien ou pas grand chose a sauver dans le cercle 2 d'Hidéo Nakata Si le cercle (réalisé par G.Verbinskien 2002) m'avait beaucoup plu cette suite est inutile et déplorable.
Le scénario est triste a pleurer ,les comédiens sont mauvais notamment le garçonnet (david Dorfman) qui joue le rôle de Aidan qui est carrément insupportable ,quant a Naomi Watts (qui alterne le bon et le mauvais depuis maintenant quelques années) elle se débat dans ce navet assommant et tente de faire ce qu'elle peut. Les scènes - chocs sont a la limite du ridicule (les cerfs - le suicide de la psychiatre) pourtant nous ne sommes pas dans le second degré non ici tout se prend très au sérieux.
Le personnage de Samara fascinant dans le cercle devient ici une espèce de créature mi humaine mi aquatique qui grogne et gesticule ,pas d'angoisse ni de frissons juste une triste constatation d'être (encore) devant une suite inutile et complètement ratée. Au bout du compte la seule réussite de ce film est la magnifique affiche.
02:40 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)
04/10/2006
Every picture tells a story (Rod Stewart 1971)
Rod Stewart est de retour depuis peu sur ma platine
Pour être tout a fait franc j’avais depuis pas mal de temps laisser tomber ce bon vieux Rod Stewart j’avais pourtant par le passé usé a force d'écoutes répétées trois de ses albums a savoir Atlantic crossing (1975) - A night on the town (1976) avec sa célèbre pochette détournée du bal du moulin de la galette de Renoir) et surtout Foot loose and fancy free (1976) on trouvait sur ces trois grands disques d'un Rod Stewart alors au sommet de son art des chansons inoubliables (the first cut is the deepest – tonight ‘s the night – you keep me hanging on - the killing of Georgie -I don’t want to talk about it – ou encore it’s not the spotlight pour n’en citer que quelques unes.
J’ai découvert Every picture tells a story seulement quelques années plus tard et ce fut un choc 8 titres seulement , essentiellement des reprises, Rod ayant toujours excellé dans l’art de proposer des reprises habitées souvent bien supérieures aux enregistrements originaux
La plus fantastique de celles proposées sur cet album paru en 1971 est sans doute I Know I’m losing you a l’origine un titre des Temptations .
Que dire de Maggie may ou de Mandolin Wind , deux seules compositions originales de Rod Stewart sinon que ces deux bijoux font sans doute partie des trois ou quatre plus grands titres de la carrière du chanteur
Sur Every picture tells a story on retrouve les musiciens qui l'acompagne depuis quelques années a commencer par le futur Stones Ron Wood (guitare) entouré ici de Mickey Waller (batterie) Pete Sears (piano) Dick Powell (violon) Martin Brandy (guitare) et Ian Mc Lagan (claviers)
Toutes les titres de ce disque superbe donnent le frisson tant la voix éraillée ,le feeling ;l'energie de Rod Stewart font merveille ;beaucoup s'accordent a dire qu'il s'agit certainement là de son meilleur album ,c'est possible je préfere personnellement penser que ce disque le troisieme de sa discographie solo et qui va permettre a Rod de voir sa carrière décoller annonce la série des disques formidables cités plus haut , cette periode de grâce prenant fin avec le virage disco inévitable du contestable Blondes are more fun en 1978.
ecoutez I know i'm losing you
03:10 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)