04/10/2006
Every picture tells a story (Rod Stewart 1971)
Rod Stewart est de retour depuis peu sur ma platine
Pour être tout a fait franc j’avais depuis pas mal de temps laisser tomber ce bon vieux Rod Stewart j’avais pourtant par le passé usé a force d'écoutes répétées trois de ses albums a savoir Atlantic crossing (1975) - A night on the town (1976) avec sa célèbre pochette détournée du bal du moulin de la galette de Renoir) et surtout Foot loose and fancy free (1976) on trouvait sur ces trois grands disques d'un Rod Stewart alors au sommet de son art des chansons inoubliables (the first cut is the deepest – tonight ‘s the night – you keep me hanging on - the killing of Georgie -I don’t want to talk about it – ou encore it’s not the spotlight pour n’en citer que quelques unes.
J’ai découvert Every picture tells a story seulement quelques années plus tard et ce fut un choc 8 titres seulement , essentiellement des reprises, Rod ayant toujours excellé dans l’art de proposer des reprises habitées souvent bien supérieures aux enregistrements originaux
La plus fantastique de celles proposées sur cet album paru en 1971 est sans doute I Know I’m losing you a l’origine un titre des Temptations .
Que dire de Maggie may ou de Mandolin Wind , deux seules compositions originales de Rod Stewart sinon que ces deux bijoux font sans doute partie des trois ou quatre plus grands titres de la carrière du chanteur
Sur Every picture tells a story on retrouve les musiciens qui l'acompagne depuis quelques années a commencer par le futur Stones Ron Wood (guitare) entouré ici de Mickey Waller (batterie) Pete Sears (piano) Dick Powell (violon) Martin Brandy (guitare) et Ian Mc Lagan (claviers)
Toutes les titres de ce disque superbe donnent le frisson tant la voix éraillée ,le feeling ;l'energie de Rod Stewart font merveille ;beaucoup s'accordent a dire qu'il s'agit certainement là de son meilleur album ,c'est possible je préfere personnellement penser que ce disque le troisieme de sa discographie solo et qui va permettre a Rod de voir sa carrière décoller annonce la série des disques formidables cités plus haut , cette periode de grâce prenant fin avec le virage disco inévitable du contestable Blondes are more fun en 1978.
ecoutez I know i'm losing you
03:10 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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