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29/06/2011

Top 100 -100 /23 ( I Can't get no) Satisfaction (The Rolling Stones 1965)


 
 

 

Curieusement comme la plupart de mes contemporains  je n'ai pas découvert les Stones avec 'satisfaction '  titre devenu c'est le moins que l'on puisse dire universel .

 C'est par d'autres chemins l'année de mes seize ans que je suis arrivé sur les traçes de Mick jagger et de sa bande notamment par l'album ' love you live " leur troisième disque enregistré  en concert en 1977 ( avec au passage une  sa sublime pochette dessinée par Andy Warhol)   .

'Satisfaction' était un titre que je ne supportais  pas,  ce tube selon moi vampirisait l'oeuvre musicale de ce groupe que j'adorais et qui me fascinait 

la chanson archi-diffusée a longtemps représentée a mes yeux  le symbole ringard et incontournable du titre "rock" joué dans les cérémonies (fêtes ,mariages) un peu comme dans un tout autre genre mais dans le même esprit le 'just a gigolo" de Luis Prima   un titre inépuisable utilisé  pour faire "swinger"  tout les invités

toutes les générations se déhanchant sur le riff de 'satisfaction'  il y avait comme un truc qui ne collait  pas avec ce que je découvrais de MES Rollings  Stones a moi ,bref  je  détester ce tube mais l'avenir me montra fort heureusement que j'avais  tort

 

C'est au travers des nombreuses (et excellentes reprises) que je redécouvris la chanson pour l'apprivoiser a nouveau et en faire comme avec une soudaine évidence un de mes titres favoris du répertoire rock

D'abord avec Otis Redding et sa reprise "soul"habitée parue quelques mois  seulement après la version originale des Stones  puis avec Aretha Franklin dans le même esprit en 1967,The Troggs en 1975 et enfin avec les incroyables Devo Qui proposèrent une fantastique version post - punk sur leur génial album" 'are we not men ? We are Devo ! "en 1978

Je ne vous livre ici  qu'un maigre échantillon parmi les reprises qui m'ont fait aimer davantage encore le tube composée autour  de ce fameux riff de guitare  trouvé pour l'éternité au milieu de la nuit dans un chambre d'hotel par Keith Richards , ce riff accrocheur et saignant qui  associé a l'idée révolutionnaire de l'utilisation d'une pédale de distorsion  firent entrer cette chanson dans l'histoire (classée deuxième plus grande chanson de tout les temps  par le magazine Rolling Stones en 2003)

le titre devenu l'un des plus connus de toute l'histoire aura bientôt 50 ans il reste a ce jour d'une incroyable et d'une stupéfiante jeunesse

 

 

The Rolling Stones - satisfaction


podcast

 

 Paroles

 I can't get no satisfaction, I can't get no satisfaction,
'Cause I try and I try and I try and I try.
I can't get no, I can't get no,
When I'm drivin' in my car, and that man comes on the radio ;
And he's tellin' me more and more about some useless information,
Supposed to fire my imagination.
I can't get no, oh, no no, no, hey, hey, hey
That's what I say.

I can't get no satisfaction, I can't get no satisfaction,
'Cause I try and I try and I try and I try. I can't get no,
I can't get no,
When I'm watchin' my T. V., and that man comes on to tell me ;
How white my shirts can be,
Well, he can't be a man,
'Cause he doesn't smoke the same cigarettes as me,
I can't get no, oh, no no, no, hey, hey, hey
That's what I say.

I can't get no satisfaction, I can't get no (girl with action,)
'Cause I try and I try and I try and I try.
I can't get no, I can't get no,
When I'm ridin' 'round the world, and I'm doin' this and I'm signin' that ;
And I'm tryin' to make some girl. Who tells me, baby,
Better come back later next week, 'cause you see I'm on a losing streak,
I can't get no, oh, no no, no, hey, hey, hey
That's what I say. I can't get no, I can't get no,
I can't get no satisfaction, no satisfaction, no satisfaction, no satisfaction.

 

 

 Devo  -satisfaction

 


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Otis Redding - satisfaction

 


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Jerry Lee Lewis  - satisfaction

 


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26/06/2011

Comme les cinq doigts de la main (Alexandre Arcady 2010)

 

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N'en déplaise a messieurs Arcady et Bruel il existe  des bons et des mauvais films comme il y a des bons et des mauvais couscous et assurément nous sommes ici dans un film qui appartient a la deuxième catégorie

Comme les cinq doigts de la main est donc un film lourd , tres lourd  ( a la limite de l'indigeste)  , construit autour un scénario affligeant et invraisemblable ,il nous présente des personnages totalement stéréotypés, les dialogues  sont  d'une triste banalité (frisant parfois la nullité )

La réalisation d'Alexandre Arcady jadis mieux inspiré car moins prétentieux  est  plate et sans âme et l' interprétation (quel curieux choix de casting !  ) est fade et sans intérêt avec une majorité de comédiens qui surjouent (Bruel en fait des tonnes , Michel Aumont est ridicule , Françoise Fabian est a peine crédible ) les autres (Elbaz , Elbé ) ne semblent jamais dans le coup (seul l'inusable Amidou est a sauver de ce naufrage collectif)

Ici les juifs sont  tous bons , respectueux des valeurs , plein de charme et d'humour et les méchants sont tous des gitans sales et bien entendu horriblement méchants

Encore un film sur la  famille juive  (ses régles , ses codes) avec  et c'est plus génant une apologie de la loi du talion ( au passage quelle ridicule et surtout invraisemblable histoire de vengeance ) bref un navet doté au passage de séquences a hurler de rire (la rencontre avec les méchants  islamistes  armés jusqu'aux dents  , le reglement de comptes final avec  la bande de Boban)

Arcady qui n'en finit plus d'explorer le sujet de la fratrie juive touche  le fond avec  le clan des Hayoun  (tous d'ailleurs  au passage plus insupportables les uns que les autres)  ,son cinéma  atteint ici les limites du genre.

 

 

 

16:00 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)

25/06/2011

Top 100 - 100/24 Johnny B Goode (Chuck Berry 1958)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Chuck Berry - Johnny B Good


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Pour illustrer ce titre incontournable je dirais que Johnny B Goode C'est  le 1+1=2  ou encore  L'A B C D du rock  ce titre historique a été composé en 1958 par Chuck Berry écrite en 1958

La chanson ,l'une des plus connues du répertoire rock d'avant 1960  raconte l'histoire ( largement autobiographique ) d'un garçon de la campagne qui " jouait de la guitare comme on sonne une cloche" 

 en 1977  La sonde Voyager envoyée dans l'espace fut équipée d'un enregistrement de cette chanson (pour que les éventuelles oreilles extra terrestres écoutent du vrai rock 'n roll )

Merveille d'équilibre et de puissance  ce titre légendaire  n'est pas une  pièce de musée rock il reste encore aujourd'hui  plus de cinquante ans après sa parution un  titre fulgurant qui enchante  les générations par sa formidable simplicité et sa redoutable efficacité Johnny B Goode a été repris par a peu près tout le monde ,citons évidemment la reprise inouïe de Jimi Hendrix  qui torture et revisite totalement le titre de Chuck Berry  ou encore parmi des dizaines d'autres  les 'covers ' des Beatles (Live at the B.B.C) , de Motorhead,  de Presley évidemment mais également de  Elton John, Les Chaussettes Noires , Johnny Halliday  Peter Tosh ou encore Jerry Lee Lewis


Paroles

 

Johnny B. Goode 
Deep down in Lousiana
Close to New Orleans
Way' back up in the woods
Among the evergreens
There stood an old cabin
Made of earth and wood
Where lived a country boy
Named Johnny B. Goode
Who'd never ever learned
To read or write so well
But he could play the guitar
Just like a ringing bell

[Chorus]
Go ! Go ! Go, Johnny, go !
Go ! Go, Johnny go !
Go ! Go ! Go, Johnny, go !
Go ! Go, Johnny go !
Go ! Go !
Johnny B. Goode

He used to carry his guitar
In a gunny sack
Go seat beneath the tree
By the railroad track
Old engineer in the train
Sitting in the shade
Strumming with the rhythm
That the drivers made
The people passing by
They would stop and say
Oh my !
But that little country boy could play

[Chorus] (x 2)

His mother told him :
Some day you'll be a man
And you will be the leader
Of a big old band
Many people coming
From miles around
To hear you play your music
'Till the sun goes down
Maybe some day
Your name will be in lights
A saying Johnny B. Goode tonight !                                                                                                                                    

 

 

La cover hallucinante de Jimi Hendrix

 


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21/06/2011

Top 100 100/25 The Message (Grand Master Flash & The Furious Five 1982)

Le magazine Rolling Stone ne s'est pas trompé ,en effet il a  placé "The Message" au 51e rang de son classement des 500 plus grandes chansons de tous les temps ; pour information  il s'agit de la chanson des années 1980 la mieux placée, mais aussi  et ce n'est pas rien du plus haut rang atteint pour une chanson de hip-hop.

Véritable hymne historique du hip-hop  le morceau est l'un des premiers à introduire un discours politiquement et socialement engagé.Ce titre  influencera durablement une large frange de la production hip hop des années a venir et  il s'inscrira également  dans la lignée des productions de l'époque (Sugarhill Gang ,Kurtis Blow) tout en donnant par la force du texte une puissante  et terrible portée sociale

'The Message ' s'impose certainement comme la pierre fondatrice du rap engagé qui va deferler sur  la  planète au milieu des années 80 illiustré par des formations comme le Wu tang Clan ou encore  Public Enemy On peut affirmer que le refrain, ' Don't push me 'cuz I'm close to the edge -  ( ne me pousse pas, parce que je suis près du bord ), est devenu l'une des phrases emblématiques de l'histoire du rap.

 

 

Grand Master Flash & The Furious Five- The Message


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Paroles


Broken glass everywhere!
People pissin on the stairs ya know they jus dont care,
I cant take the smell,
Cant the noise,
Got no money to move out,
I guess i got no choice
Rats in the front room, roaches in the back
Junkies in the alley wit a baseball bat
I tried to get away, but I couldnt get far
Cause the man with the tow-truck repossessed my car

[Chorus:]
Dont push me, cause Im close to the edge
Im trying not to loose my head,uh huh huh huh huh
Its like a jungle sometimes, it makes me wonder
How I keep from going under

[Verse 2:]
Standing on the front stoop
Hangin out the window
Watching all the cars go by
Roaring as the breezes blow
Crazy lady, livin in a bag
Eating out of garbage piles
Used to be a fag-hag
Search and test a tango
Skips the life and then go
To search a prince to see the last of senses
Down at the peepshow, watching all the creeps
So she can tell the stories to the girls back home
She went to the city and got so so so ditty
She had to get a pimp
She couldnt make it on her own

[Chorus:]
Dont push me, cause Im close to the edge
Im trying not to loose my head,uh huh huh huh huh
(Its like a jungle sometimes, it makes me wonder
How I keep from going under) [x2]

[Verse 3:]
My brothers doing fast on my mothers t.v.
Says she watches to much..is just not healthy
All my children in the daytime
Dallas at night
Cant even see the game or the sugar ray fight
Bill collectors they ring my phone
And scare my wife when Im not home
Got a bum education
Double-digit inflation
Cant take the train to the job theres a strike at the station
Me on king kong standin on my back
Cant stop to turn around, broke my sacroiliac
Midrange, migraine, cancered membrane
Sometimes I think Im going insane, I swear I might
Hijack a plane!

[Chorus:]
Dont push me, cause Im close to the edge
Im trying not to loose my head
(Its like a jungle sometimes, it makes me wonder
How I keep from going under) [x2]





 

15/06/2011

Top 100 100/26 walk on the wild side (Lou Reed 1972)

 

Voici l'exemple type d'une chanson infiniment plus célébre que son auteur en effet  ' walk on the wild side' et sa rythmique  mondialemment  connue  de tous restera le seul tube de la carriere de Lou Reed qui se son coté va devenir a la fois et un symbole rock une icone pour toute une génération (la mienne) mais aussi  une référence musicale  absolue en matiere d'auteur compositeur

Extraite de 'Transformer ' le  second album de Lou Reed  walk on the wild  side' va s'imposer sur les radios au point de parasiter la carriere solo de l'ex membre du Velvet Undeground

le sujet de la chason  est deja significatif de cet univers paralléle et underground  cher a  Lou reed  ,  en effet ' walk on the wild side   décrit la vie à peine voilée des grands noms de la Factory d'Andy Warhol, ( Holly Woodlawn, Candy Darling, Joe Dallesandro ) personnages sulfureux du monde interlope warholien

Musicalemment on retiendra surtout la ligne de saxo ( jouée par Ronnie Ross) ,la ligne de guitare folk ( joué  par Lou Reed) et les fantastiques  choeurs (the Thunderthighs) qui  permirent  a ce titre de s'immortaliser et de devenir totalement universel

Ce n'est certainemment pas l'oeuvre la plus aboutie de son auteur mais sa place dans un top 100 ne souffrira d'aucune discussion ,elle me semble en ce qui me conçerne d'une évidence absolue .A propos de cette g rande chanson "décadente" il est cocasse d'iimaginer que des  millions de personnes ont  dansés sur ce hit incontournable sans se douter une seule seconde de quoi Lou reed voulait parler

Evidemment evoquons l'affaire A tribe called quest groupe de rap  new yorkais (1990-1998) qui cru malin  en 1990 sur 'Can I kick it ? ' extrait de leur premier album ' People's Instinctive Travels and the Paths of Rhythm' de sampler l'intro de 'take a walk on the wild side ' , sans en toucher un mot a l'auteur ce qui fût une trés mauvaise idée puisque le proces intentée par Lou Reed  intraitable a ce sujet  leur a couté  pas  mal de royalties

Beaucoup d'artistes évidemment ont proposés leurs versions de ce titre mythique citons Duffo (1981) Vanessa Paradis (1990) , Tok Tok Tok (2005)  Editors (2007) , ou plus récemment Jesse Malin  ( 2008)  

Lou Reed - walk on the wild side


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Paroles

Holly came from Miami, FLA.
Hitch-hiked her way across the USA.
Plucked her eyebrows on the way,
shaved her legs and then he was a she.
She says, Hey babe,
take a walk on the wild side.
She said, Hey honey,
take a walk on the wild side.

Candy came from out on the island.
In the back room she was everybody's darling.
But she never lost her head
Even when she was givin' head.
She says, Hey babe,
take a walk on the wild side.
She said, Hey babe,
take a walk on the wild side.
And the colored girls go
dododo dodo dododo do dodo dodo dododo do dodo dodo dododo do dodo dodo dododo

Little Joe never once gave it away.
Everybody had to pay and pay.
A hustle here and a hustle there,
New York city's the place where,
they said, Hey, babe,
take a walk on the wild side.
They said, Hey Joe,
take a walk on the wild side.

Sugar Plum Fairy came and hit the streets.
Lookin' for soul food and a place to eat.
Went to the Apollo,
should've seen him go go go.
They said, Hey, Sugar,
take a walk on the wild side.
I said, Hey, babe,
take a walk on the wild side.
Alright.
Huh.

Jackie is just speedin' away.
Thought she was James Dean for a day.
Then I guess she had to crash,
Valium would've helped that bash.
She said, Hey, babe,
take a walk on the wild side.
I said, Hey, Honey,
take a walk on the wild side.
And the colored girls say
dododo dodo dododo do dodo dodo dododo do dodo dodo dododo do dodo dodo dododo

14/06/2011

Quand j'étais chanteur (Xavier Giannoli 2006)

 

 

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Gerard Depardieu et Cecile de France en voila un bien joli face a face , on pouvait a juste titre émettre des doutes quant a la possibilité pour le pachydermique monument du cinéma français a se fondre dans Ce rôle casse gueule , celui d'Alain Moreau chanteur de bal et de kermesse , gloire locale un peu pathétique de Clermont -Ferrand et bien Encore une foi l'immense Depardieu nous étonne et nous surprend car il est ici  formidable dans ce personnage atypique ,un peu vulgaire certes mais d'une grande sensibilité et d'une grande pudeur

Face a lui Cecile de France est magnifique en sobriété et en silences et bien que son personnage ne soit pas très bien saisissable elle existe bel et bien face a l'ogre Depardieu

Un film simple , a la fois  triste et  gai plein de nostalgie et d'infinie  pudeur un film sans artifices dans lequel le réalisateur non seulement dirige d'une main de maîtres ses comédiens mais parvient surtout a saisir des regards , des gestes et des moments de grace

 Une belle et  grande réussite

01:44 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)

12/06/2011

Top 100 100/27 Happiness is a warm gun (The Beatles 1968)

 

 Happiness is a warm gun 'littéralement'  le bonheur c'est un flingue chaud !' on peut se demander si John Lennon a eu le temps de penser a cette chanson lorsque Mark Chapman lui colla cinq balles un soir de Decembre 1980 alors que le chanteur rentrait d'une séance d'enregistrement

Cette chanson composée par Lennon 22 ans  avant ce tragique épilogue  est pour moi le sommet de l'Himalaya ' blanc'  des Beatles ,ce double album phénoménal  sorti fin 1968  et qui continue de susciter années après années tant d'émerveillements  , de débats et de discussions

Composée en plusieurs  parties distinctes 'Happiness is a warm gun '  était  aussi l'une des oeuvres dont Lennon (bien que le titre soit crédité Lennon- Mc Cartney  sur l'album) était le plus fier

il disait clairement  de cette chanson qu'elle était « une sorte d'histoire du rock n'roll », car elle comprend trois sections différentes alors que le morceau dure moins de trois minutes

Allusion a la dépendance a l'héroine de John ( ' I need a fix ...cause I'm going down' ) ,  a sa fascination pour Yoko Ono ("mother superior ") ou simple référence a une couverture de magazine d'armes a feu chacun penchera pour la version qu'il souhaite mais au dela de toute réelle signification cette chanson synthétise vraiment le génie du groupe de par sa construction et de par sa complexité 

 toute a la fois tré élaborée et d'une apparente simplicité  a la fois ce titre résume parfaitement  tout le génie des Beatles en géneral et de Lennon en particulier

. A noter que beaucoup d'artistes  se frottèrent a cette merveille  avec , certes plus  ou moins de réussite mais cependant  toujours avec beaucoup de culot ( Alanis Morissette , U 2 ,  Psychic TV, Tori Amos ou encore The Breeders) 

 

 

 

 

 

The Breeders - hapiness is a warm gun


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 Paroles

She's not a girl who misses much
Do do do do do do do do oh yeah
She's well acquainted with the touch of the velvet hand
Like a lizard on a window pane

The man in the crowd with the multicoloured mirrors
On his hobnail boots
Lying with his eyes while his hands are busy
Working overtime
A soap impression of his wife which he ate
And donated to the Nation Trust

I need a fix 'cause I'm going down
Down to the bits that I left uptown
I need a fix cause I'm going down
Mother Superior jump the gun
Mother Superior jump the gun
Mother Superior jump the gun
Mother Superior jump the gun

Happiness is a warm gun
Happiness is a warm gun
When I hold you in my arms
And I feel my finger on your trigger
I know no one can do me no harm
Because happiness is a warm gun
Yes it is

 

The Beatles  - happiness  is a warm gun 


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Tori Amos - hapiness is a warm gun

 


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13:18 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

10/06/2011

Top 100 100/28 Nightclubbing (Iggy Pop 1977)

 Nightclubbing que beaucoup auront re-découvert dans la formidable bande-son de'' Trainspotting' (1996) ,le film choc de Danny Boyle est un titre fascinant  ,une merveille inclassable  proposée  par le duo Iggy Pop -David Bowie (producteur de 'the  idiot' le  légendaire album d'Iggy d'ou est extrait cet OVNI énigmatique et hallucinant)

Le  titre est totalement indéfinissable ,si on voudrait le situer il faudrait évoquer un mélange de  pop futuriste  inspirée  de Brian Eno , regulier collaborateur de Bowie et une ambiance décalée sur une rythmique robotique  cabaret - bastringue quelque peu déglinguée

sur 'Nightclubbing ' chanson  a l'hommage des pistes de danse et du monde de la nuit Iggy chante comme nul autre , sa voix unique , lascive , trainante fait merveille et contribue a créer  une atmosphere  irréelle et presque mécanique

4 ' 14  de voyage en terre inconnue pour ce titre phénoménal entre transe hypnotique et experimentation muisicale novo pop dans la lignée des chefs d'oeuvres de Bowie ('Station to station ' ou encore l'indépassable  'Low ") mais  inspiré egalement des productions de Joy Division ou encore de Kraftwerk

Nightclubbing fut également et judicieusement  utilisé comme générique de l'émission Lunettes noires pour nuits blanches, présenté par Thierry Ardisson dans  son émission culte  de 1988 a 1990  sur Antenne 2.

Enfin impossible de ne pas évoquer la stupéfiante 'cover proposée par Grace Jones sur l'album 'Nightclubbing " en 1981 . D'autres versions seront par ailleurs enregistrées notamment  par Nine Inch Nails ou encore The Human League pour n'en citer que quelques unes

 

 Paroles

Nightclubbing were Nightclubbing
Were whats happening
Nightclubbing were Nightclubbing
Were an ice machine
We see people brand new people
Theyre something to see
When were Nightclubbing
Bright-white clubbing
Oh isnt it wild?

Nightclubbing were Nightclubbing
Were walking through town
Nightclubbing were Nightclubbing
We walk like a ghost
We learn dances brand new dances
Like the nuclear bomb
When were Nightclubbing
Bright white clubbing
Oh isnt it wild...

 

Iggy Pop  -nightclubbing

 


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Grace Jones  - nightclubbing

 


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