18/12/2004
Les 400 coups (1959)
Quel immense bonheur et quel premier film magistral. Je suis certain que le regard des cinéastes du monde entier ne sera a jamais transformé par ce grand film. On assiste avec les 400 coups à la naissance d’un comédien surdoué Jean-pierre Léaud ; 14 ans, petit mec incroyable d’authenticité et de vérité de bout en bout de ce film qu’il porte sur ses épaules d’adolescent débrouillard. Je n’oublierai pas de sitôt le jeune Antoine Doinel (alter ego a peine déguisé de François Truffaut) marchant dans les rues de la capitale avec cette impression, cette intense sensation que le monde lui appartient. Les 400 coups sont à ranger au panthéon des films sur l’enfance, au panthéon des films tout court.
12:23 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)
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